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Lumière sur Chloé Malard

Peintre de la dolce vita

Chloé Malard se forme aux métiers de l’édition à l’école Émilie-Cohl de Lyon. C’est là qu’elle se prend d’affection pour l’acrylique et débute sa carrière de peintre. En parallèle, elle continue à faire des dessins aux feutres plus proches de l’illustration.

À Montpellier, elle s’imprègne de la « dolce vita » et de l’ambiance lumineuse qui vont beaucoup influencée son style. Elle aime capter les situations du quotidien où l’on se sent bien, reposé. Un ton léger souligné par son dessin épuré et délicat.

Elle a déjà exposé ses peintures plusieurs fois en France, en Italie et au Royaume-Uni.

Des traits et des tâches de couleur

Grande admiratrice de Sempé, elle apprécie ses dessins minimalistes, assez proche du croquis. Les images délicates des livres de Béatrice Potter et Jill Barklem l’ont également beaucoup influencée.

Sur des tâches de couleurs au Promarker, elle définit les formes de son images au trait noir. Elle teste souvent plusieurs compositions avant de trouver celle qu’elle préfère. Sa palette se veut très douce avec principalement des tons pastels.

Une jeune carrière d’illustratrice

En 2018, elle se lance avec son premier album jeunesse, Potiron et petite ourse (Les petites bulles éditions). En 2020, elle publie chez Seuil Jeunesse Un thé à l’eau de parapluie. Le texte de Karen Hottois est l’occasion rêvée de plonger dans les couleurs chaleureuses de l’automne, et de s’en donner à cœur joie dans le cocooning !

Son dernier livre, Peluche au fil des saisons (Les petites bulles éditions) est un recueil d’aventures joyeuses et farfelues imaginées par Juliette Vallery. Pour l’illustrer, elle s’immerge dans les atmosphère typiques de chaque saison. Cocooning près du feu, détente au soleil, tout en suivant un personnage décalé et rêveur qui saura nous donner le sourire.

La carrière d’illustratrice de Chloé Malard ne fait que commencer, et de nombreux projets sont sur le feu, comme la suite d’Un thé à l’eau de parapluie